samedi 6 avril 2013

L'identité selon Maalouf

J'ai beaucoup aimé la discussion que nous avons eue en cours cette semaine. Voici l'interview à Amin Maalouf après la publication de son "Défi salutaire. Comment la multiplicité des langues pourrait consolider l'Europe", au cas où vous voudriez l'écouter à nouveau.
Cette manière  d'expliquer l'identité composée d'appartenances me convient très bien pour mieux me comprendre moi même. Né en France, de parents espagnols (andalouse et castillan), ayant vécu longtemps en Catalogne et vivant actuellement à Granada... et bien, ce que je vous disais, son interprétation me va très bien.
Jetez un coup d'oeil au blog de Maalouf, en particulier cet article.

5 commentaires:

Unknown a dit…

Géniale l'anecdote. Je me souviens de Rosa Parks, laquelle est devenue célèbre en 1955, à Alabama, en refusant de céder sa place à un passager blanc dans l'autobus, et dont on a parlé. Grâce à cet action, un jeune pasteur noir inconnu, Martin Luther King, lance alors une campagne de protestation et de boycott contre la compagnie de bus qui durera 381 jours.

Unknown a dit…

Pour rapport à l'article propossé par le Proff. je dois dire qu'il est très interessant (en general tout ce qui entoure Maloouf), mais, les commentaires ci-dessous de l'article sont. en même temps, également interesants à lire. D'ailleurs, on connaît l'opinnion des françaises et comment-ils écrivent.

>Jose a dit…

S'il y a un personnage dont nous ayons lu et parlé et qu'il mérite de continuer à s'intéresser à lui, ce n'est que Amin Maalouf. Pour moi, il est admirable. À vous Jose Luis, c'est à vous à qui il faut lui remecier l'avoir connu.
Merci, donc; de ma part, et je pense que de celle de toute la classe de 4° B

>Jose a dit…

Cette entrée, qui pourrait sembler encline à une très longue conversation, vu que le sujet nous touche à presque tous, ne provoque pas de commentaires.
Bien que je ne sois pas le plus concerné, car ça a déjà un âge, au gré du document du défit salutaire, c'est claire que moi, tel que presque tous les élèves, j'ai choisi le français comme ma "langue personnelle adoptive". Même si on n'est prof. d'aucune langue.
Il faut que nous prenions conscience du besoin, et que nous l'inculquions à nos enfants pour qu'il soient à l'hauteur dans une Europe de plus en plus multilingue.
Ea.

Teresa a dit…
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