Pas facile devenir un bon communicateur. Vous trouverez ici la vidéo que nous avons vue et qui nous parlent des mots clés du métier de journaliste... à revoir.
Vous trouverez deux sites ( site 1 et site 2) où il y a des conseils pour devenir bon orateur. C'est toujours difficile de bien parler en public, sans erreurs, en évitant le trac, mais il y a des techniques qu'on peut apprendre.
Vous trouverez ici le texte "la machine à abrutir" en entier. Dans le livre il y a presque tout mais ici il est complet.
Et pour Joaquin qui me demandait la semaine dernière pourquoi il avait lu "un sac de cuir" et "un sac en cuir" dans le même exercice. Je crois avoir trouvé la solution dans "la grammaire du français. Cours de civilisation de la Sorbonne" Hachette:
"La matière: après le verbe être ou après un nom:
Cette bague est en or
Un sac en plastique
Après un nom, on trouve aussi la préposition de: un mur de béton, une veste de cuir, etc."
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
18 commentaires:
Par rapport à tout cela, je m'ai toujours posé la question, est-ce qu'on naît ou on devient?
Parfois malgré tous nos éfforts, on n'arrive pas où l'on veut.
Parmi d'autres choses parce que sans une bonne permière matière on ne peut pas obtenir un bon produit terminé.
Pour répondre à ta question ,j'aimerais bien te raconter l'histoire de Demóstenes .Quand il était jeune ,il bégait cependant grâce à sa détermination et à sa pérséverance,il a réussi à devenir l'un des grands orateurs de la Grèce antique.Pour se guérir il mettais des pierres dans sa bouche et il déclamait des discours tandis qu'il se promenait par les plages désertes de la Grèce.Avec de la volonté ,de l'effort et de la persévérance rien n'est impossible,alors bon courage!
Ce qui arrivait à Démostenes c'est qu'il bégayeait(tartamudeaba),excusez-moi!
Un cas d'entre des millions, ça dit peu. La plupart des fois, le résultat c'est l'échec quand même. Qu'à quelqu'un lui arrive quelque chose comme ça, c'est presque si difficile que gagner à la loterie le gros lot.
Dominique, je pense qu'on nait avec des qualités mais nous sommes aussi capables de devenir, peut-être pas ce qu'on veut, mais au moins nous diriger vers un objectif et quelquefois l'atteindre. L'exemple de Teresa nous illustre le désir de vouloir être ce qui en principe était difficile et y parvenir. Dans la vie du quotidien on peut trouver d'autres exemples, peut-être que moins connu mais important.
Je partage un peu l'opinion de Jose Luis.
Toutes les personnes sont différentes et on nait avec des qualités et des défauts. Il faut accepter ceux que nous ne pouvons pas corriger et faire de notre mieux pour potensialiser notre partie positive.
Les Anglais disent "si la vie te donne des citrons, fais de la citronnade".
Pourtant, ce que on ne doit pas faire c'est de tenter de faire de la citronnade avec des cocombres...
Si la vie nous donne de cocombres, faisons de la salade ou vendons-en!
Ça suffit, tout le monde!!
Je suis d'accord, mais je réclame seulement une place pour la déception, pour l'échec, pour qui n'a pas d'autre remède que se debrouiller, même s'il voudrait que tout soit beaucoup mieux.
En réalité ce ne sont que d'avis car personne n'a de données véritables.
On écoute souvent 'Con las mimbres que tenemos hacemos estos cestos'.
Plus ou moins, On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.
Nous tournons autour de la même question, et moi, j'ai pris le côté plutôt défaitiste, désenchanté. Et bien sûr qu'il existe.
Dominique, c'est pas contre toi. On trouve ton idée aussi dans la vie quotidienne mais je dirais qu'on dit souvent qu'avec des cartes déterminées il y a des gens qui perdent et d'autres qui sont capables de gagner (malgré le manque de chance)
Dominique, la déception, la peine, la maladie, l'échec, les problèmes...
font partie de la vie quotidienne.
C'est à nous de choisir sur quoi nous concentrer, si nous preferons nous sentir comme des victimes ou comme des personnes chanceuses.
La reussite n'est pas obtenir tout ce que nous voulons, mais être capable de bien vivre notre vie et en profiter.
Il existe des personnes qui sont plus hereuses que la majorité de nous et qui n'ont presque rien.
J'ai toujours peur de me plaindre parce que j'ai appris que tout peut empirer et je ne voudrais pas regarder en arriere et regretter que je n'ai bien profité de ma vie.
Pourtant, comme tu dis, c'est à chacun de nous de choisir l'attitude face á la vie et la tienne est respectable aussi (même si je pense qu'elle n'est pas bonne pour la santé, mais c'est seulement mon opinion)
J'ai dis déjà que je suis d'accord. Et ce que vous dites me semble perfect. Je répète, je suis d'accord.
Mais parfois la vie nous donne des choses qu'on ne veut pas, bien que nous ne les ayons pas cherchées, et que notre actitude ait été positive.
Chacun met tout de son mieux, mais nous ne pouvons pas tout maîtriser.
Imaginons combien de jeuns espagnols finissent leurs études, et leurs familles voient que cela ne sert à rien, que son pays ne va pas leur offre d'opportunités. Et alors, sa seule sortie est de continuer à étudier ( dans quel but?) ou de partir ver autre pays.
N'est pas cela une déception, un échec de tout le pays? Pour moi si.
Combien des milliers de jeunes ne trouvent pas du travail? Et s'il le trouvent, de quoi s'agit-il? Uniquement vont les exploiter si quelqu'un les embauche.
Et ces gens, ont 'buenas mimbres' pour faire de 'buenos cestos'. Ils ont étudié et ils ont réussi, et maintenant quoi?
Ici ont seulement sa place ceux qui ont les moyens économiques pour continuer, grâce à leurs familles ou d'autres soutiens.
Et les autres? Est-ce qu'ils ne savent pas ou ils n'ont pas su jouer leurs cartes?
Ils peuvent se battre contre quoi que ce soit, car ils sont très préparés, mais contre quoi faut-il lutter?
Pour moi, nous avons échoué comme pays, les espagnols.
Et bien, on va sortir du puits, bien sûr. D'accord.
Mais voilà un exemple sur une grande échèle d'un échec colectif, le nôtre comme pays. Face à nous.
Bonjour. J'aimerai "bloguear" avec vous, mais en ce moment-la je ne me rappelle pas du sujet du débat que Jose Luis nous a proposé. Ah si; "Bien communiquer".
Pourquoi je dis cela?. Parce que, à mon vis, tout ce qui j'ai lu, jusqu'au présent,n'est pas la question.
Par rapport au dernier commentaire. Nous ne devons jamais baisser les bras. De plus je ne crois pas que notre pays soit un échec colectif. Il faut être optimiste, et comme Iabel a dit, tout peut empirer, donc...(Excusez-moi par le style ironique, mais il s'agit seulement d´ecrire, dont j'en ai besoin)
Ah; Bon pont pour qui l'ait)
Ernesto ,je pense que tout ce que tu as lu a relation avec le sujet que Jose Luis nous avait proposé.Un bon orateur naît ou se fait?C'est ça la question que Dominique nous a posé ,et que tout le monde a essayé de répondre.
Moi,je pense que quelqu'un de normal ,avec une intelligence normale peut obtenir tout ce qu'il veut dans la vie mais il faut savoir vraiment ce qu'on veut ,savoir ce qui nous pasionne,et c'est ça le problème,soyons sincères, la plupart des fois qu'on échoue c'est parce que ce qu'on fait ne nous enflamme pas vraiment,pas pour manque de qualités.N'est-ce pas?Alors cherchons ce qui nous passionne et luttons pour l'obtenir!
Malgré la passion, beaucoup d'aspects échapent de notre portée. Ne l'oublions pas. Nous allons trouver aussi des limitations personnelles que sociaux, car ces dernières dépendent d'autres, pas de nous mêmes.
Uf ,mon dieu ,comment est-ce que tu peux vivre avec de telles pensées!!!
LES AUTRES PEUVENT NOUS AIDER AUSSI!!!RENDRE NOTRE VIE PLUS FACILE!!!TU SAIS??
Oui! Et tout au contraire aussi.
Dominique, je dois avouer que je partage ton opinion par rapport à l'Espagne. Je pense que comme un pays, nous avons echoué.
Mais je pense aussi que c'est ne pas ma faute et en conséquence je ne me sens pas coupable.
Alors, c'est pour ça que je n'ai pas un sentiment d'avoir échoué. Je voudrais que la vie était meilleure pour moi et pour les autres mais etant donné que l'on ne vit qu'une fois, il faut bien profiter de ce que l'on a.
Ernesto: ne dis pas que l'on est en train de parler d'un sujet différent a celui que l'on a
proposé.
Il est vrai, mais il existe une ligne sur le sujet dont on parle et je ne crois pas que ce soit un problème, c'est-à-dire, nous parlons à laise, même Jose luis a apporté son opinion, alors, quel est le problème?.
Tu m'as appris à ne pas être si cartésienne (comme les militers).
Donc, si l'on s'eloigne du sujet, ce n'est pas si important, ou si?
Je ne comprends pas quell'est le rapport entre "bien communiquer" et l'échoue d'un pays et de ses jeunes. S'il s'agit de parler, bien, pourtant de faire de la polemique? Je ne sais pas ou est le lien entre les deux sujets. C'est la raison pour laquelle je me suis perdu presque toujours. Quand j'en participe; donc...
Enregistrer un commentaire